Et Dieu… créa la Cendrillon ! L’incontournable ballerine Repetto est devenue un mythe aux pieds de Brigitte Bardot dans le film qui la révéla : Et Dieu… créa la femme. La jeune actrice demanda à la fondatrice de la maison, Rose Repetto, de dessiner pour elle un modèle aussi léger et délicat que des chaussons de danseuse, tout en lui apportant une touche sexy.

La semaine dernière, la marque prisée des fashionistas du monde entier s’offrait une nouvelle boutique sur les Champs-Élysées. Cette adresse prestigieuse qui vient compléter les autres points de vente parisiens sera très certainement appréciée par les touristes qui aiment particulièrement flâner sur la plus belle avenue du monde. D’autant plus que L’Atelier Repetto sera également intégré à cet espace, permettant une personnalisation des modèles iconiques pour celles qui souhaiteraient s’offrir un exemplaire absolument unique.  

Depuis ses débuts, Repetto a su trouver un juste équilibre entre une mode féminine et des pièces faites pour assurer un confort extraordinaire. Une qualité qui a fait ses preuves, mettant le made in France à l'honneur, puisque les chaussons de danse et les ballerines de ville sont conçus dans les ateliers de Saint-Médard-d’Excideuil, en Dordogne. Le ballet, bien sûr, a été le point de départ, la quintessence et l’ADN qui a d’abord guidé des collections de chaussures, suivies de tutus et vêtements de danse, et plus récemment, de collections prêt-à-porter, toujours avec une élégance précise et une grâce qui sied à son univers.

Ambassadrice du style à la française, il faut dire que Repetto a chaussé les personnalités emblématiques qui incarnent la Parisienne de manière pérenne. Ainsi, après Brigitte Bardot et la ballerine Cendrillon, c’est Serge Gainsbourg qui, dans les années 1970, devient ambassadeur des fameux richelieus blancs Zizi. Ce modèle fait, depuis, partie des classiques de la marque, un intemporel qui, année après année, demeure intournable pour exprimer le chic parisien. Repetto, par son histoire et ses collections, prouve que le monde de la scène et la vie réelle peuvent être dans une correspondance toujours renouvelée créent un dialogue permanent.